jeudi 29 novembre 2012

PETIT MÉLANGE DE GENRES

Quelques suggestions et impressions avant la fin du monde...


Les Mayas et une 1567ème (ou plus...) annonce de la fin du monde !

Laissons donc les Mayas en paix, au fait, avaient-ils prévu leur propre fin ?
Mais, au cas où, profitez de ces dernières semaines pour voir et découvrir plein de choses et advienne que pourra !
MAYA NO...

Bien, ceci étant posé, où aller ?


  • Théâtre du Châtelet
Certes, le propos a un peu vieilli ; le côté fleur bleue, romance prête à sourire mais les grandes chorégraphies donnent encore des fourmis dans les jambes et les danseurs renvoient une énergie considérable... d'ailleurs j'ai mis un peu de temps à m'endormir en rentrant hier soir !
À défaut du théâtre, regardez le film quitte à accélérer à certains moments...
Et voilà un paysage urbain de plus à mettre à notre crédit, pourquoi pas ?

  • Expositions
Nécessaire : Rétrospective DALÌ.
Un monument de la peinture du 20ème siècle, une intelligence aigüe et une curiosité universelle, un sens de la provocation percutant etc.
Bravo à Beaubourg pour cette belle initiative, et ne pas oublier de consulter le site de l'exposition.


Nécessaire (bis) : CHAÏM SOUTINE au musée de l'Orangerie.
Une peinture d'écorché vif, qui traîne avec lui toute une misère morale et matérielle, liée à la douleur de l'exil, et sublimée par une palette intense et des rouges inoubliables.
Jusqu'au 21 janvier 2013.



Plus frivole mais superbe : L'IMPRESSIONNISME ET LA MODE au musée d'Orsay.
Sous l'explosion des couleurs et des chatoiements du pinceau versicolore des impressionnistes, se lit aussi une histoire du vêtement et en particulier de celui des femmes qui exprime et conditionne leur statut social.


Une atmosphère proustienne : JACQUES-ÉMILE BLANCHE.
Peintre et portraitiste renommé mais aujourd'hui méconnu, il nous ramène dans les salons de la Belle Époque avant que n'éclate le conflit de 14-18. C'est un monde brillant mais un peu désabusé, qui oscille entre frivolité et gravité pour décrire une époque de grand doute sous une apparente maturité.

La fondation Pierre Bergé - YSL offre son cadre somptueux pour cette restitution d'un "temps perdu".

Et un très beau dossier de presse à lire ici.


Et pour mémoire, MARY CASSATT à la Fondation Mona Bismarck
,
sans oublier le Grand Palais dans deux registres différents :

            
                                   EDWARD HOPPER                                  BOHÈMES
                                   Site expo "Hopper"                            Site expo "Bohèmes"

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